Résumé
L’objet de cet article est la présentation d’une série d’expériences déjà anciennes, effectuées à Nottingham sous la responsabilité d’A. Bell. On peut rapprocher ce travail de celui de Gérard Vergnaud sur la résolution des problèmes additifs. Une première idée essentielle est qu’une équation numérique donnée peut correspondre à des problèmes différents car immergés dans des contextes différents et traduisant des relations différentes entre les données. Une seconde idée est que l’étude de ces problèmes peut nécessiter un symbolisme particulier différent des notations mathématiques standards. L’auteur analyse ainsi les effets de divers contextes et de « structures » variées avec des enfants d’âges allant de 8-9 ans à 11-12 ans, à la fois sur un plan quantitatif et sur un plan qualitatif (analyse des procédures).